Collégiale Notre-Dame-en-Vaux de Châlons-en-Champagne

L'église s'écroule. Il ne reste de l'église que le niveau inférieur du transept et tours du chevet. Le reconstruction de la nouvelle église commence aussitôt et est rapide: nef à deux niveaux avec des collatéraux, portail abrité sous un porche au flanc droit de la nef deux tours de la façade.

Construction du cloître sur le flanc gauche de l'église après la réalisation des bas-côtés de la nef.

L'église est bénie par l'évêque Gui de Joinville.

Conflit entre le chapitre de la cathédrale a qui appartenait l'église et les chanoines sur la propriété des offrandes des fidèles. Les travaux ralentissent.

Un arbitrage confirmant la pleine propriété des offrandes aux chanoines, les travaux reprennent avec un nouveau programme: le chœur est surélevé d'un niveau, l'élévation de la nef passe à quatre niveaux avec des voûtes barlongues. Le chœur est inspiré de celui de la basilique de Saint-Rémi de Reims.

Voûtes des bras du transept et dans la première travée de la nef.
Réalisation des flèches des quatre tours.

Restauration du porche du portail.

Percement des s'étonne du bas-côté gauche pour mettre en place des verrières datées de 1525 à 1530.

Percement des murs-gouttereaux du bas-côté droite pour mettre en place des verrières du XVI^e siècle.

Les chanoines font abattre le cloître faute d'argent 1766 pour l'entretenir.

La commune décide d'abattre les flèche des tours du chevet puis celle de la tour gauche de la façade. Les statues du portail du flanc droit sont détruites.

L'église sert de dépôt.

Restauration complète de l'église par l'architecte Jean-Baptiste Lassus sous l'animation de l'abbé Champenois.

Ouverture du musée du cloître de Notre-Dame-en-Vaux après la découverte des statues du cloître faite au cours de fouilles.